ŒUVRE

Nanaqui – Antonin Artaud – fait son ultime promenade, avant d’arriver à l’asile d’Ivry-sur-Seine dans la nuit du 3 mars 1948, juste avant sa mort. Dans cet intime voyage, il visualise toute sa vie conditionnée notamment par la douleur, l’opium et le jugement de celleux qui restent dans la frontière de la « normalité ». 

Sur scène, des fragments de son existence et une réflexion sur la santé mentale prennent une forme physique et visuelle, créant des tableaux forts et enveloppés de vidéo. 

Ce spectacle presque sans parole contient une scène de semi-nudité.